L’autorité ou comment aborder la posture de verticalité avec assertivité🚨

Je m’attaque ici à un défi d’importance : tenter de définir la posture d’autorité et de verticalité que ce soit dans le monde professionnel ou personnel.

Bien évidemment, mon opinion et mes écrits n’engagent que moi, mes perceptions et compréhensions de notre environnement,

et ne fait pas office de vérité. (Si ce n’est pour moi-même)

J’accueille régulièrement des parents avec une problématique en lien avec l’autorité qu’ils peuvent avoir auprès de leurs enfants. Des managers, perdu dans leur rôle…                                    Mais c’est quoi l’autorité ?

Définition Wikipédienne et/ou Googelienne pour commencer :

nom féminin

  1. Droit de commander, pouvoir d’imposer l’obéissance.
  2. L’autorité du supérieur sur ses subordonnés (hiérarchie).
  3. Les organes du pouvoir.
  4. Les représentants de l’autorité.

OOOOOOOhhh ! comme il commence mal cet article 🤣

Ma (mon humble) définition :

1-   Posture permettant de guider, enseigner, élever,  pouvoir de susciter le respect (y ‘aurait un article à rédiger sur ce thème mais mes talents d’écriture ne sont pas aussi prolixe pour le moment)  et l’écoute active (Xème article que je n’ai pas écrit !!!)

2-   Organes étatiques représentant l’équilibre, le bien-être, et le bon fonctionnement (financier, sanitaire, et sécuritaire) d’un pays.

STOPPPPPP ! ✋✋✋ j’entend déjà vos messages qui me renvoient à mon optimisme débordant et ma crédulité. Mais franchement, je persiste et signe que l’autorité est (ou censée être) bienveillante, sublimante et inspirante.

On pourrait se mettre d’accord sur le fait que, durant un sacré bout de temps, la notion d’autorité  s’est développée autour de thème comme rigidité (≠ de rigueur), le pouvoir despotique, l’imposition, la peur, la sanction… Des notions qui n’ont pas fait leurs preuves dans la bienveillance et la sublimation, ou la transcendance.

Les moeurs, les codes et les environnements changent pour mieux s’adapter. L’autorité aussi.

Mais voilà, empreints de ce lègue ancestrale même la meilleure bonne volonté ne permet pas de faire preuve de cette autorité. Une raison : Nous ne pouvons pas donner ce que nous n’avons pas reçu. FACTUEL !

Pour pouvoir exercer une autorité adaptée et pertinente, cela nécessite un nouvel apprentissage.  Et pour ce faire, il nous faut désensibiliser nos premiers apprentissages et lègues, pour faire de la place et créer un nouveau mode de fonctionnement crédible.

Exemple:

Mme Truc a un enfant très actif, qui ne répond pas à ses ordres ou injonctions. Elle a lu beaucoup de livres sur la parentalité positive, la communication et tutti quanti … Elle adopte donc les postures décrites et se surprend à ne voir aucuns résultats probants. Explications, dialogues, aide à l’identification des émotions de son bambin… Rien n’y fait. Elle consulte un praticien qui diagnostique à son enfant un trouble : choisissez dans le panier ; TDA/H,Multi DYS, Haut potentiel & CIE (au passage je conseille la lecture de ce super bouquin sur le sujet LIEN ICI ). S’en suit un parcours de soins, d’accompagnement, … l’épuisement la gagne elle et son enfant. En dernier recours, elle consulte des praticiens en pratiques complémentaires qui ne pourront toujours pas faire grand chose. Quelque soit les diagnostiques, son autorité n’a jamais été développée que son enfant soit diagnostiqué ou non, qu’il ait une pathologie ou non.                   Sa responsabilité de parent, va devoir l’engager à observer quelle autorité elle a reçu ?

Là, il y a plusieurs possibilité mais elle amène très souvent au même résultat ou tout son contraire.

  • Si Mme Truc à eu des parents avec une autorité despotique, elle n’a que deux possibilités : Faire de même ou tout son contraire.
  • Si Mme Truc a reçu une autorité laxiste, elle a encore deux possibilités:                                       Faire de même ou tout son contraire
  • Si Mme truc n’a pas eu d’autorité parentale car un ou ses deux parents n’étaient plus là. Elle aura appris de l’autorité présente à ce moment là et l’exemple 1 ou 2 s’applique.

En résumé, le champs de possibilités est réduit et conditionné. Pour Mme truc, il sera bon de faire table rase en revisitant son apprentissage. Elle ne pourra pas changer son passé, bien évidemment, mais elle pourra modifier, apaiser, ses émotions et ressentis conscients et inconscients afin de faire de la place pour un nouvel apprentissage.

NB: un vécu = des faits + des ressentis + des émotions. Un vécu impacte notre présent (et par voie de conséquence notre futur)  non pas avec un simple fait mais avec les ressentis et émotions perçus grâce à notre jugement et programme intérieur, sur ce fait. Action = Réaction, si l’on modifie les paramètres ressentis et émotions et que l’on utilise son jugement, le vécu se transforme et laisse de la place pour un nouveau fonctionnement bon pour soi et son environnement. (un bon bouquin au passage ICI)

C’est ainsi, que l’information, pourra être reçu par son bambin. Sa communication verbale, non verbale et l’énergie de sa posture seront totalement alignées, en accord et  sans dissonance.

Je pourrai te donner l’exemple en milieu professionnel, mais je pense que tu as perçu la mécanique ? Si ce n’est pas le cas, demande-moi l’exemple en milieu pro. Je serai ravie de te parler de Mme Machine.

Dans le milieu professionnel cette posture est très importante car elle se veut inspirante pour créer une dynamique.

-” Sandra ? ”

– ” oui ? ”

-” Ton titre parle d’autorité ,de verticalité et d’assertivité. Mais tu n’as pas parlé de verticalité ni. d’assertivité ?!”

– ” Je vois que tu suis. C’est génial ! merci de ta réflexion. Je vais tenter de la faire plus courte que pour l’autorité, et t’expliquer ce que j’entend par verticalité.  Pour l’assertivité, le dictionnaire est un bon outil ! et je t’en dirai plus en séminaire si jamais on s’y croise. ”

La verticalité, c’est cette posture que l’on ne remet pas en cause car l’autorité de la personne est admise et reconnu. Imaginons un truc horrible (merci de ta compréhension car c’est pour l’exemple) : Tu vas voir ton médecin et celui ci t’annonce que tu as une maladie grave, voir incurable. Vas-tu lui répondre : ” non docteur je ne vous crois pas, je doute de votre diagnostic, je pense pas que ce soit cela mon problème.” Ben nonnnn, tu vas avoir une sacré chute d’énergie et plein de symptômes qui indiquent que tu as bien reçu l’info et que tu ne l’as remet pas en doute. La raison: Son autorité de médecin (de sachant) lui donne cette posture de verticalité. Idem dans la sphère familiale, lorsque l’on apprend à un enfant à croire au Père Noël. Il adhère rapidement à cette information car l’autorité parentale et la verticalité confère à l’information une facette de vérité qu’il ne peut remettre en cause. (En tous les cas au début 😂 après c’est une autre histoire)

Alors si toi aussi comme Mme Truc, Mme Machine ou Mr Tartanpion tu souhaites créé ton autorité, ta posture de verticalité, pour enseigner, faire grandir, inspirer, motiver ta cellule familiale, ton équipe de travail, tes collaborateurs, je t’invite à revisiter ton vécu pour le transcender. Tu peux aussi cliquer ici pour un coup de pouce 👍

Entreprises : Pensez au feedback, pour mieux faire grandir la posture de vos managers.               Un coup de pouce 👍 ici

Coeur-dialement®

Sandra Bertholon – Exhausteur de bonheur –

 

 

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